Créer ou adapter l'allocation de vos patrimoines privés et professionnels
C'est quoi une allocation ?
L’allocation, c’est la façon dont sont structurés, déployés et répartis les actifs d’une personne physique et/ou d’une
société, d’exploitation ou non. L’allocation est d’abord fonction des besoins et des objectifs, à court, moyen et long terme. Suivant les horizons d’investissements et la tolérance aux risques, le professionnel mettra en place une allocation, dont le déploiement sera bien souvent progressif dans le temps.
La situation personnelle et professionnelle étant mouvante, comme le monde qui nous entoure, les stratégies sont évolutives. La notion de diversification est fondamentale : diversification des classes d’actifs et des enveloppes d’investissement, diversification géographique, diversification sectorielle, maturité des placements. Les actifs traditionnels, socle du patrimoine, prennent généralement une place prépondérante dans l’allocation (de 80 à 100 %).
Les actifs non traditionnels permettent une diversification supplémentaire
(de 0 à 20 %). La structure de frais des différents investissements est une notion importante, précision étant faite qu’une économie de frais ne constitue pas, en soi, une performance financière.
Les questions à se poser
(Non exhaustif)
1. Quels sont mes objectifs ?
2. Ai-je des sensibilités particulières, notamment ESG ? A quoi sert l’argent investi ?
3. Quelle est ma tolérance aux risques ?
4. Quels sont mes horizons d’investissements ?
5. Quelle est la composition et la diversification de mon patrimoine ?
6. Ai-je besoin de revenus complémentaires ? Quel est le rendement / performance attendu ?
7. Quelle est la structure de frais de mes placements ?
Les outils
(Non exhaustif)
Enveloppes : financières en France et au Luxembourg. Véhicule sociétaire.
Les actifs dits « traditionnels » comprennent principalement :
- L’épargne réglementée : Livret A, PEL, LDDS
- Les comptes à terme (?)
- Les fonds € / fonds général
- Les actions d’entreprises : cotés et non coté (private equity)
- Les obligations d’états et d’entreprises : cotés et non coté (private debt)
- Les fonds : actions, obligataires, private assets, infrastructures
- Les fonds indiciels ETF / trackers
- Les produits structurés
- L’immobilier : en direct et indirect
Méthodologie : process de sélection. Mise en place de mandats d’arbitrage.
Le cas concret
Les cas accompagnés par Justae :
Gestion de la trésorerie d’entreprise CT (2 ans)
Comptes à terme négociés dans 2 banques sur différentes maturités (12, 18, 24 mois).
Compte-titres avec fonds monétaires.
Intervenants
Justae
Investisseur souhaitant s’exposer aux marchés cotés
50 % des actifs investis sur 4 trackers.
30 % des actifs investis en obligataire par l’intermédiaire d’un fonds daté.
20 % des actifs confiés à un gérant disposant d’uneexpertise sectorielle et géographique spécifique non représentée au sein des ETF.
Exposition en private assets
Constitution d’un portefeuille de fonds d’investissement
avec différentes thèses d’investissements
(principalement en equity) :
- 60 % : Growth equity – secteur santé &
agriculture - 30 % infrasturcture
- 10 % Venture capital – secteur tech
Suivi des appels de fonds et des répartitions partielles
d’actifs.
Intervenants
Justae
Exposition en private debt
Constitution d’un portefeuille de dettes privées de courte maturité (36 mois max) avec de solides garanties.
Réinvestissement, fonction de la conjoncture, du capital au fil de l’eau.
Investisseur souhaitant connaitre les paramètres de son investissement dès le début
Produit structuré
Société holding soumise aux contraintes de réinvestissement du 150-0 B Ter
Constitution d’un portefeuille diversifié :
- 10 % Venture Capital – secteur tech
- 50 % Growth equity – divers secteurs
- 35 % Immobilier – marchands de bien
- 5 % actifs côtés (IPO)
- Suivi des appels de fonds et des répartitions partielles
d’actifs. Arbitrage à terme sur les actifs côtés.